La femme qui bat son mari (die Frau, die ihren Ehemann schlägt);
„Voyez comme cette Guenon
Aussi cruelle qu lubrique
A ce pauvre sot fait la nique,
Qui n´est son mary que de nom.
Monsieur le coquin, luy dict Elle,
Vous faites le mauvais en vain,
Car je tiens des clefs à la main.
Qui vous ouviront la cervelle.
Un chacun se donne de choq
Durant c´et excez de colere:
La soeur ose gourmer le frere,
Et la poule attaque le Coq.
Mais ce verd Galand, qui pour rire
Attend la Donzelle en son lict,
Considere ce beau conflit,
Et juge des coups sans rien dire."
über dem Gedicht: „ABosse in. et fe. le Blond excud Avec Privilege."
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